18 mars 2008

Le chat & le perroquet


Ce grand trompe-l'oeil,  huile sur toile  du XVIIIe siècle par le peintre Nicolas de Largillière est l'une des trois peintures qui décoraient une pièce de la maison de l'artiste, rue Geoffroy-l'Angevin, à Paris. Je "passe le voir" souvent dans les salle de peinture française.
Il y a là un parfum d'enfance dans le somptueux rideaux rouge, les animaux de conte et ce  paysage au goût de Rubens que je ne sais pas bien démêler mais dont je me délecte.

de la beauté


Dans la presse, cette photo de femmes iraniennes allant voter a retenu mon attention : je les trouve d'une beauté époustouflante !
Le cadrage est aussi très fort, il y a dans l'échange de ces trois regards croisés une intimité d'une grande douceur les liant dans un monde inaccessible pour qui ne fait pas partie de leur cercle.